Vous avez besoin de faire traduire vos documents pour un public francophone habitant au Canada, en Afrique, Belgique ou Suisse ? Confiez cette mission à de véritables spécialistes qui vous assisteront dans la localisation linguistique et culturelle vers le public cible qui vous intéresse et dans le domaine de spécialisation de votre entreprise.

Comme vous le savez sans doute, la langue de Molière n’est pas uniquement parlée en métropole et dans les départements d’outre-mer. Le passé de notre grande nation, par le biais de colonisations, a conduit à l’expansion territoriale de la langue française. Ce fut notamment le cas du Canada où nos ancêtres français s’y installèrent dès le XVIIème siècle, mais également le cas de nombreux pays d’Afrique tels que l’Algérie, la Côte d’Ivoire, le Cameroun, le Sénégal, etc…

Méfiez-vous ! Ce n’est pas parce que la langue officielle de ces pays est le français qu’il s’agit de la même langue parlée en métropole. Une entreprise souhaitant conquérir l’un de ces marchés ignorant ces spécificités risque de se confronter à plusieurs quiproquos. En effet, il convient de signaler que le français parlé dans ces pays présente de nombreuses différences avec le « Français de France » pour des raisons linguistiques et socio-culturelles. Nous vous énonçons ci-après l’assistance que notre entreprise est à même de vous fournir pour adapter votre documentation au public francophone qui vous intéresse.

Vous êtes une entreprise souhaitant mettre en place une nouvelle collaboration avec un prospect qui se trouve en Afrique. Oui, vous parlez peut-être français mais peut-être ne connaissez vous pas le français parlé dans ces territoires aux nombreuses variantes culturelles et linguistiques. Nos interprètes experts connaissent toutes ces subtilités et peuvent vous aider à faciliter votre communication. En effet, bien que le français soit devenue la langue officielle dans de nombreux pays d’Afrique Noire, cette idiome doit cohabiter avec un grand nombre de langues vernaculaires, les langues maternelles : le sens des mots utilisés diffèrent ainsi des termes utilisés dans le français de France, tout comme la prononciation peut être difficile à comprendre pour une personne n’étant pas habituée à ces spécificités. Cela est principalement dû au fait que ces personnes ont appris des mots français qu’ils prononcent souvent selon la logique et la syntaxe des « dialectes d’origine ». Par exemple, les routes mal entretenues deviennent des tablettes de chocolat e le vendeur de cigarettes, un « tablier ».

De même, lors d’une rencontre d’affaires avec un prospect, il n’y a pas que la communication verbale qui compte, le langage non verbal est tout aussi important. Votre discours tout comme votre façon de faire sera différent en fonction de si vous souhaitez vous adresser à un français de France, de Belgique, de Suisse, ….

Pour une négociation avec un Africain, nous vous conseillons d’être patient, de ne jamais bousculer l’ordre des choses établi. Cela signifie concrètement que ces prospects n’apprécient guère des démonstrations d’impatience. De même, il faut tenir compte de la conception du temps qu’ont les Africains et qui diffère de celle adoptée en général par les Européens…Ne prenez pas un éventuel manque de ponctualité pour un manque de respect ! En effet, chez eux, le temps est immatériel et les horaires ne sont pas toujours respectées à la lettre : n’ayez pas l’air empressé, prenez bien le temps de vous présenter, cette attitude sera particulièrement appréciée, signe démontrant votre volonté d’investissement.

Enfin, voyons quelques subtilités à prendre en considération si vous souhaitez traduire une documentation écrite pour le Canada par exemple. Le traducteur doit être conscient de certaines subtilités, ces caractéristiques du français parlé dans cette zone géographique. Comme nous l’avons dit précédemment, l’arrivée de Français au Canada remonte au 18ème siècle, l’époque du « vieux français ». Ainsi, de nombreuses expressions utilisées dans les Provinces de Québec et du Nouveau-Brunswick sont restées assez vieillottes. Par exemple, il est fréquent d’entendre « je demeure à Québec » pour dire « j’habite à Québec » ou encore entendre parler de « char » pour désigner une voiture. De même, étant restés proches géographiquement des États-Unis, le français parlé dans ces provinces a subi l’influence de l’anglais (ex : « accomoder » de l’anglais « accomodation » signifie « rendre service à quelqu’un »).

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