Traduction, insertion et adaptation de sous-titres dans vos vidéos dans toutes les langues

Le sous-titrage est une activité qui nécessite de profondes compétences linguistiques et techniques. Studio Moretto Group propose un service professionnel de traduction et d’insertion de sous-titres multilingues, spécifiquement adaptés au public étranger. Cette solution, qui nous vient du monde de la cinématographie, permet aujourd’hui de créer des documents audiovisuels d’une grande efficacité, tels que des présentations d’entreprises, des vidéos de démonstration et pour la formation du personnel étranger en plusieurs langues.

SMG met à la disposition de ses clients une expérience consolidée dans le monde de la traduction et ses technologies de publication de pointe pour fournir un service d’excellence répondant aux besoins de ses clients aux portes du troisième millénaire.

Publication multimédia : utilité et différence entre sous-titrage et doublage

Aujourd’hui, les services de sous-titrage et doublage sont de plus en plus utilisés dans les domaines les plus variés qui nécessitent l’insertion d’une traduction écrite ou parlée dans une vidéo. Grâce à la simplification des processus de production ainsi qu’à la réduction des coûts, la réalisation de sous-titres et doublages n’est plus uniquement réservée à l’industrie cinématographique: ce service est désormais accessible à un grand nombre d’entreprises qui les utilisent pour créer des vidéos institutionnelles, documentaires et cours de formation en ligne multilingues.

Sous-titrage

Il s’agit de didascalies explicatives projetées en surimpression au bas de l’image d’un film, en général dans le but de fournir la traduction des dialogues ou d’en faciliter la compréhension pour un public malentendant.

Doublage

Il s’agit de l’enregistrement des dialogues après les enregistrements d’une vidéo, indispensable pour traduire les dialogues dans une langue autre que la langue d’origine. Le service de doublage peut être réalisé en mode voix off, lorsque la voix du doubleur se superpose complètement au discours original ou en mode voice-over, lorsqu’il est possible d’entendre la voix d’origine en arrière-plan. À titre d’exemple, le voice-over est celui utilisé dans de nombreux films et vidéos d’Europe de l’Est, dans lesquels les dialogues dans la langue d’origine peuvent être entendus dessous la traduction.

La différence entre légendes (caption) et sous-titres

  • Le terme « légende » (caption, en anglais) désigne principalement les didascalies destinées aux téléspectateurs malentendants et affichent tous les contenus audio nécessaires à la compréhension, tels que les dialogues, la description de la personne qui parle et son mode d’expression, les musiques et effets sonores pertinents dans la scène (musique de fond, sonneries de téléphone, etc.).
  • Les soustitres affichent quant à eux les dialogues sous forme de didascalies et sont destinés aux spectateurs entendants qui comprennent la langue parlée ou l’accent. Ils sont insérés même lorsque certaines parties du discours ne sont pas claires.

Cette distinction est faite aux États-Unis et au Canada, tandis que dans d’autres pays, le terme «  sous-titres » est généralement utilisé pour indiquer les deux types de didascalies.

Lorsque ces sous-titres ne s’affichent qu’après leur activation à l’aide d’une télécommande ou du menu, ils sont appelés sous-titres fermés ; si, au contraire, ils apparaissent automatiquement en surimpression, il s’agit de sous-titres ouverts.

Comment sont réalisés les sous-titres ?

Afin de faciliter la lecture des sous-titres dans une langue étrangère, il est nécessaire de prendre en compte les aspects techniques et linguistiques suivants :

  • Le temps d’affichage du sous-titre à l’écran ne doit pas être inférieur à 1 seconde (sinon il serait impossible de le lire) et ne doit pas dépasser 4 secondes pour la lecture d’une seule ligne de texte ou 6 secondes pour la lecture d’un sous-titre composé de deux lignes de texte.
  • Chaque ligne de texte peut contenir au maximum 35 caractères, sachant qu’un caractère désigne une lettre, un signe graphique ou un espace.
  • Un maximum de deux lignes de texte peut apparaître à l’écran
  • L’espace occupé par le sous-titre ne peut dépasser 15 % de la hauteur totale de l’écran et 66 % de sa largeur.
  • Lorsqu’il y a un dialogue entre deux personnages, le texte du sous-titre doit être précédé du signe « – » et placé sur deux lignes différentes.

 

L’un des principaux problèmes dans la création de sous-titres est l’absence d’un procédé identique à toutes les situations. En effet, il est nécessaire d’identifier à chaque fois la solution la plus appropriée en fonction du type de vidéo à créer, de sa visée et des médias utilisés. Il faut savoir que pour lire les sous-titres à la télévision, il faut environ 30 % de temps supplémentaire par rapport à la lecture de sous-titres destinés au grand écran et une telle différence a clairement un impact majeur sur les techniques de réalisation des sous-titres, sur la gestion des temps et des longueurs des phrases.

Néanmoins, le processus de production d’un sous-titre est généralement constitué des quatre étapes qui suivent :

Création du modèle

La définition du modèle vise à localiser correctement les sous-titres dans la vidéo en tenant compte des temps d’apparition/disparition du texte. Autrement dit, les sous-titres doivent être synchronisés avec l’audio et respecter les changements de scène et de champ.

Traduction

Elle consiste à traduire le texte original, en veillant à bien respecter les exigences techniques du sous-titre, telles que le nombre maximum de caractères par ligne. Un service de traduction de sous-titres doit également prévoir une adaptation textuelle visant à ajuster la longueur des phrases en fonction de l’espace disponible à l’écran et de la vitesse des changements de scène. Si possible, il est préférable d’éviter de couper les phrases sur plusieurs écrans ; cela nécessite souvent une grande maîtrise dans la gestion de leur adaptation, notamment pour assurer la meilleure synchronisation labiale possible. Un autre point crucial consiste à trouver un compromis entre les exigences de synchronisation du texte traduit et sa lisibilité, sans dénaturer la signification initiale.

Simulation

Cette étape consiste à vérifier l’exactitude des sous-titres traduits et la simultanéité entre vidéo et texte. La lecture doit se faire le plus naturellement possible, chose qui ne peut se produire que si les sous-titres ont été traduits et adaptés de manière efficace et qu’ils ont été correctement temporisés.

Correction

Cette dernière phase de production consiste à éliminer toute erreur de traduction, de positionnement ou de synchronisation des sous-titres et nécessite l’intervention de traducteurs réviseurs et de techniciens de sous-titrage.

Les services de sous-titrage, voice-over et doublage sont disponibles dans plus de 160 langues, notamment :

A

  • Arabe-perse

C

  • Cyrillique
  • Croate

E

  • Estonien

F

  • Finlandais
  • Français

G

  • Géorgien
  • Guarani

H

  • Hongrois

I

  • Islandais

L

  • Letton
  • Lituanien

M

  • Maltais
  • Mongol

O

  • Occitan

P

  • Polonais
  • Portugais

T

  • Tchèque
  • Telugu
  • Thaï
  • Tibétain
  • Turc

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Faits historiques sur le sous-titrage

De 1919 aux années 1930, nous sommes passés du cinéma muet aux productions toujours plus complexes qui alternaient des images à didascalie, pour arriver en 1927 au cinéma sonore synchronisé et, en 1932, au doublage des films pour les exporter vers des marchés étrangers. C’est ainsi que sonna la fin de l’ère des didascalies et la naissance du sous-titrage.

Dès lors, plusieurs techniques ont été développées pour reproduire les sous-titres sur pellicule : des procédés chimiques aux techniques laser, en passant par les générateurs de sous-titres, jusqu’à ce que l’ère du digital ne s’impose avec l’arrivée des DVD et l’introduction de logiciels tels qu’After Effects ou Camtasia.